Coucou nous revoilà !

Après plus de trois années où nos nouvelles ont été épisodiques, nous en avons profité pour remanier le site, où nous l’espérons votre lecture en sera plus facile. Nous avons gardé la totalité des archivages, de la page d’accueil, des actualités, des articles, de la forêt, des peuplas etc.

La présentation à quelque peut changer, mais l’essentiel en a été conservé, toutes les rubriques y sont toujours, exceptées en page d’accueil, les vidéos et l’audio. Par contre les radios et retour au XXè siècle y sont toujours.

La période que nous avons traversé qui au moment des gilets jaunes, nous a conforté dans notre positionnement que seul un mouvement social d’ampleur pouvait nous sortir du marasme mortifère du capitalisme, avec sa misère, ses guerres, ses famines, ses pandémies, sa destruction méthodique de tout ce qui fait notre condition humaine, le social, l’environnemental, la solidarité, la liberté et d’égalité.

Nous sommes à un moment de bascule où le capitalisme nous mène une guerre de classe sans merci, le prétexte de la pandémie et notre relative aphasie, nous a fait accepter, après les lois liberticides face au terrorisme, des lois sanitaires inacceptables.

Nous avons pu, durant cette pandémie, nous rendre compte que la société était debout grâce à tous ces prolétaires sous-payés et non pas grâce à ces parasites de la bourgeoisie, à ces représentants, à ces défenseurs et autres affidés du néolibéralisme, qu’il soit national ou international.

Seul compte pour eux les lois du marché, nous le voyons avec les augmentations de l’énergie et de l’alimentaire. Depuis des décennies les gains du capital, face aux gains du travail, se sont démultipliés. L’argent de dingue sorti de nulle part pendant cette pandémie, n’a servi que les entreprises et pas les salariés. Les plus pauvres se sont appauvris tandis que les plus riches croulent sous les écus.

L’augmentation des salaires ne sera qu’éphémère, alors que leurs taux de profit seront exponentiels. Nous devons nous interroger sur la pertinence de notre travail, quel travail est nécessaire pour notre bien à tous, garant de l’égalité, de la liberté et de nos raisons d’être ?
Plus la faillite de la société capitaliste nous apparaît et plus les capitalistes revendiquent de profits.

Nous devons dès à présent nous interroger collectivement sur quelle société nous voulons pour nous et ceux qui nous suivront.